Jean Lurça-Liberté-1943
On entend un
bruit, ….un bruit aussi silencieux que des ailes de papillons.
Il y a une
odeur, une odeur très forte, peu connue mais si agréable : celle de notre
chère liberté, celle-là que nous connaitrons tous, tôt ou tard, celle dont je
voudrais écrire le nom partout, celle qui fait passer le monde de l’obscur à la
lumière.
Au premier coup d’œil
on peut y voir un soleil rayonnant mais aussi la part d’ombre qu’il cache, cette obscurité qui sommeille en
chacun de nous. Car nous avons peur et de cette peur, celle de la mort,
naissent les ténèbres, nos enfers, …
Mais on peut remarquer que la part d’ombre n’est pas la plus
grande. La partie de lumière est un peu plus importante et nous devons faire en
sorte pour qu’elle le reste. Sinon, nous devrons attendre un miracle pour nous
sauver de cette prison que nous avons nous-mêmes forgée.
Sylvain Blanchy 3G
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